27 janvier 2024

''Hâte de jouer sous ce maillot !''

Kelvin Amian

Hier, Kelvin Amian (25 ans) a été officiellement présenté à la presse, depuis le Centre Sportif José-Arribas. Découvrez ci-dessous, quelques extraits de sa conférence de presse.

LE CHOIX D'UN RETOUR EN FRANCE

Kelvin AMIAN : "J'avais envie de revenir en France pour ma famille qui n'était pas très à l'aise en Italie, notamment dans l'adaptation. Sportivement, je me suis bien adapté et j'ai très bien été accueilli en Italie."

LE RETOUR EN LIGUE 1

"Retrouver la Ligue 1 et la France, c'était pour moi une priorité. Dès que j'ai été contacté par le Club, j'ai tout de suite eu envie de signer à Nantes. Le FC Nantes est un très grand club du championnat de France. J'ai poussé de mon côté pour venir ici."

DES NÉGOCIATIONS ASSEZ LONGUES...

"C'était un peu long mais c'est comme ça, c'est le mercato. Il faut avoir le mental et continuer à travailler. À la fin, tout s'est bien passé."

SUR LE PLAN PHYSIQUE

"Je suis apte, je n'ai pas arrêté les entraînements, j'ai continué à bien m'entraîner."

L'EXPÉRIENCE EN ITALIE

"J'ai appris beaucoup de choses en Italie. J'ai évolué, j'ai gagné en maturité, j'ai beaucoup appris tactiquement aussi. Physiquement, je pense aussi avoir gagné en aptitudes et je suis impatient de jouer."

SON POSTE PRÉFÉRENTIEL

"Mon poste de prédilection, c'est latéral droit. J'aime les duels, le un contre un, défendre. J'ai vraiment cette âme défensive et c'est un point fort. Je peux aussi évoluer dans l'axe."

C'EST DIT !

Jocelyn Gourvennec, sur Kelvin AMIAN : "Ce qui m'a plus chez lui ? Beaucoup de choses. Je le connaissais de Toulouse, où il a fait ses preuves dans son club formateur. Après, il a fait le choix de partir en Italie. Il a fait ses preuves également en Serie A italienne, ce qui dit beaucoup pour un joueur et peut-être encore plus pour un défenseur. On a pas mal échangé, je l'ai beaucoup vu. Il fallait aussi voir où il en était dans quels systèmes il évoluait. Aujourd'hui, il a beaucoup progressé en Italie, dans un championnat difficile. On a aussi eu de très bon renseignements de ses anciens entraîneurs ou éducateurs, sur sa mentalité et son professionnalisme. C'est important aussi à nos yeux et il cochait les cases. Il a fallu être patient, qui plus est avec la concurrence de Bologne (Italie). C'est bien d'avoir pu convaincre Kelvin que le projet nantais était bon pour lui !"